Je vous reçois sur rendez-vous toute la semaine du Lundi au Samedi.
Pour les personnes éloignées de Marseille ou dans l'incapacité de se déplacer, une séance "online" est parfaite.
une séance « Web » ?Nous grandissons avec les contraintes de notre apprentissage du monde. Cela forme au cours du temps des croyances qui me limite dans ma vie d’adulte. Il vient un moment où chacun a besoin de se séparer de ce qui l’empêche de développer son moi véritable dans sa propre vie.
Je prend conscience de ce que je veux vraiment dans ma vie, et j’ouvre la voie pour expérimenter un autre positionnement face aux sollicitations que je reçois : Je dis OUI quand cela me convient vraiment et je m’autorise à dire NON quand je sens la contrainte du « je dois » ou du « il faut ».
J’apprend à accepter toutes les parties de ma personnalité pour mieux envisager une collaboration efficace de toutes les tendances qui vivent en moi. En m’acceptant tel que je suis, je m’offre l’opportunité d’accepter les autres tel qu’ils sont, et de pacifier la relation.
Je me donne les moyens de réussir en évitant de préjuger de mes capacités à évoluer, en stopant les jugements et les comparaisons inutiles et en privilégiant l’expérimentation positive. Réussites et échecs sont des moyens de renforcer ma confiance en moi et de m’estimer moi-même.
A l’intérieur de moi coexistent des forces opposées par des croyances qui souvent appartiennent à d’autres : famille, amis, société, ... J’apprend à permettre une collaboration juste entre mon féminin et mon masculin, mon enfant et mon parent intérieur, la personne que je donne à voir et celle que je cache, ...
Développer sa personnalité c’est dans un premier temps faire le ménage de ce qui nous contraint à une immobilité sclérosante ou à une répétition épuisante des schémas de vie, puis expérimenter de nouvelles manières d’aborder la relation à soi et aux autres, pour décider en conscience de ce qui est bon pour soi et tracer la route de sa propre vie.
Le changement commence en prenant rendez-vous...
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Selon le Décret n° 2012-695 du 7 mai 2012 modifiant le décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l'usage du titre de psychothérapeute , seuls les psychiatres sans autre condition, les psychologues cliniciens, les médecins autres que psychiatre et les psychanalistes sous des conditions réglementaires peuvent utiliser le terme de psychothérapeute et être inscrits au registre national des psychothérapeutes. En réaction à la loi ci-dessus, qui, selon leurs points de vue dénature le terme psychothérapeute, les principaux syndicats représentatifs des professionnels de la psychothérapie ont défini le terme de "Psychopraticien" pour exprimer la dénomination d'une activité professionnelle dans le cadre d'une psychothérapie. Il ne s'agit donc pas d'un "Titre" mais bien de l'expression de la nature d'un métier comme par exemple "Ingénieur" ou "Informaticien". C'est pourquoi j'utilise le terme de Psychopraticien et non celui de Psychothérapeute pour parler de mon métier de professionnel de l'accompagnement aidant dans lequel mes spécialités sont l'Analyse Transactionnelle (Certifié par l'EFAT, non certifié par l'EATA), la Sophro-Analyse (Certifié par l'IESA) et la Sophrologie (Certifié par l'IESA).
Sous la pression d'un rapport de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), il semble que certains termes soient désormais réservés aux professions médicales et paramédicales. Ainsi, plus de « consultation », de « patient », de « thérapeute », de « thérapie » ou d'activités « thérapeutiques »,etc...
Il est probablement regrétable que ces termes soient ainsi « privatisés » pour une classe de professionnel dit de « santé » et que cela puisse pénaliser « des professionnels de l'accompagnement aidant » ou de la « la relation aidante » et du « développement personnel » qui n'ont d'autres buts que d'exercer leur métier en apportant un mieux-être à leurs « consultants » dans un cadre déonthologique défini et une éthique professionnelle effective.
En effet, l'acte de « consulter » se nomme en français une « consultation », un « patient » est éthymologiquement « une personne qui souffre, qui endure » et un thérapeute, « celui qui prend soin ». A vous de vous faire votre opinion sur l'usage de ces termes dans une pratique éthique.