Sophrologue - Sophro-Analyste
Thérapie émotionnelle et psycho-corporelle

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La confiance en soi est-elle équivalente à l'estime de soi ?

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Améliorer la confiance en Soi

Les conseils foisonnent sur Internet, sur Youtube, dans des publications ... Souvent dans l'injonction à retrouver sa confiance en soi. Comme une injonction à être soi.

Confiance en soi

Et si l'on commençait par ne plus se comparer ?!

Lorsque nous nous comparons aux autres, nous entrons dans une relation d'interdépendance que nous pensons normale alors que nous donnons à autrui la capacité de définir ce que nous sommes, parfois au travers de notre propre évaluation. La confiance en soi se construit à mesure de l'amélioration de nos propres performances. L'encouragement de l'environnement vient fixer la notion d'évolution et de confiance en soi.

Encore faut-il accepter que nous ne pouvons pas être bon en tout. Et cette acceptation est au centre de nos conflits internes. Devons-nous accepter le compliment d'un autre que nous estimons peut-être "supérieur" ou bien inférieur ? Doit-on écraser les autres par nos performances pour se prouver à soi-même sa supériorité ?

Et si la bienveillance que nous nous apportons était finallement le carburant de notre confiance envers nous-même. Accepter nos échecs et valoriser nos succès par rapport à nos propres performances, sans se soucier du regard d'autrui, en est la clef, le booster.

Accepter la "reconnaissance" des autres sans en faire l'échelle de valeur de sa propre confiance en soi devient l'un des moteurs, avec le désir de faire, le désir d'être, le désir de se dépasser et le respect de soi-même, dans le succès comme dans l'échec.

Reconnaître ses limites et décider de les dépasser

c'est dans sa première jeunesse que l'individu construit la confiance qu'il a en lui-même au travers des progrès qu'il réalise. Le rôle des parents est alors important pour aider, soutenir et accompagner dans de nouvelles expériences. Parfois une "carence" parentale vient déstabiliser cette construction. Pour d'autres personnes, c'est la rencontre d'événements ou de relations néfastes qui vient éroder cette construction.

La Sophrologie aide à exprimer les ressentis que l'on peut avoir dans certaines situations et notamment dans les mémoires corporelles
La Sophro-Analyse permet de rechercher les causes et de consolider voir de reconnecter l'individu à lui même et à ses valeurs.
L'Analyse Transactionnelle facilite la compréhension des situations déstabilisantes et permet d'y remédier par une modification de son point d'ancrage.


Accompagnement aidant

C'est dans la reconnaissance de la personne que l'on est avec ses atouts, ses fragilités, ses échecs et ses succès que séance après séance, vous construisez et renforcez la confiance qui a pu se déliter au cours de votre vie. Souvent La Confiance en soi se travaille dans l'accompagnement d'une autre thématique.

Chacun suit son propre chemin, invitez-moi à vous accompagner sur le votre, juste le temps nécessaire, en toute bienveillance...

Le changement commence en prenant rendez-vous...

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Psychothérapeute ou Psychopraticien ?

Selon le Décret n° 2012-695 du 7 mai 2012 modifiant le décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l'usage du titre de psychothérapeute , seuls les psychiatres sans autre condition, les psychologues cliniciens, les médecins autres que psychiatre et les psychanalistes sous des conditions réglementaires peuvent utiliser le terme de psychothérapeute et être inscrits au registre national des psychothérapeutes. En réaction à la loi ci-dessus, qui, selon leurs points de vue dénature le terme psychothérapeute, les principaux syndicats représentatifs des professionnels de la psychothérapie ont défini le terme de "Psychopraticien" pour exprimer la dénomination d'une activité professionnelle dans le cadre d'une psychothérapie. Il ne s'agit donc pas d'un "Titre" mais bien de l'expression de la nature d'un métier comme par exemple "Ingénieur" ou "Informaticien". C'est pourquoi j'utilise le terme de Psychopraticien et non celui de Psychothérapeute pour parler de mon métier de professionnel de l'accompagnement aidant dans lequel mes spécialités sont l'Analyse Transactionnelle (Certifié par l'EFAT, non certifié par l'EATA), la Sophro-Analyse (Certifié par l'IESA) et la Sophrologie (Certifié par l'IESA).

Vocabulaire

Sous la pression d'un rapport de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), il semble que certains termes soient désormais réservés aux professions médicales et paramédicales. Ainsi, plus de « consultation », de « patient », de « thérapeute », de « thérapie » ou d'activités « thérapeutiques »,etc...
Il est probablement regrétable que ces termes soient ainsi « privatisés » pour une classe de professionnel dit de « santé » et que cela puisse pénaliser « des professionnels de l'accompagnement aidant » ou de la « la relation aidante » et du « développement personnel » qui n'ont d'autres buts que d'exercer leur métier en apportant un mieux-être à leurs « consultants » dans un cadre déonthologique défini et une éthique professionnelle effective.
En effet, l'acte de « consulter » se nomme en français une « consultation », un « patient » est éthymologiquement « une personne qui souffre, qui endure » et un thérapeute, « celui qui prend soin ». A vous de vous faire votre opinion sur l'usage de ces termes dans une pratique éthique.